L’eau que nous devrions Boire

L’EAU QUE NOUS DEVRIONS BOIRE
Qualités d’une eau de boisson :
Nous sommes constitués d’eau à 70% et chaque année nous buvons une tonne d’eau !
L’eau est donc l’élément essentiel à l’équilibre de notre corps.
Il y a 2000 ans, Pline l’Ancien recommandait les eaux qui ne forment pas de dépôt
dans les récipients où on les fait bouillir, Dr VALNET.
L’O.M.S (Organisation Mondiale de la Santé ) PRÉCISE QU’UNE EAU
POTABLE ne doit pas contenir de germes indésirables et DOIT AVOIR UN
DEGRÉ DE DURETÉ INFÉRIEUR OU ÉGAL A 10. Or, l’écrasante majorité des
municipalités délivre une eau non conforme, puisque la moyenne française est de 50,
soit 3 fois trop ! Les travaux scientifiques de bio-électronique du Pr VINCENT ont
permis de définir ce qu’est une eau idéale.
Cela repose sur trois paramètres le pH, la résistivité et le potentiel d’oxydoréduction.
-Premier paramètre : l’eau du robinet a un pH supérieur à 7 et un individu en
excellente santé un pH de 7 ( on a observé que chez les cancéreux, le pH du sang est
supérieur à 7 ).
-Deuxième paramètre : la résistivité. Celle-ci est en quelque sorte le facteur de pureté.
Norme préconisée par le Pr VINCENT :
minimum 8000 ohm ; eau du robinet : 2000.
-Troisième paramètre : l’oxydoréduction ( Rédox ). Sachez que le sang doit être
réducteur ( contraire d’oxydé ) pour que l’organisme puisse assimiler les nutriments.
Le rôle de l’eau n’est pas d’apporter des nutriments mais de permettre leur transport
jusqu’aux cellules et l’évacuation des déchets jusqu’aux organes d’élimination.
Comme l’eau est le principal solvant, plus elle sera pure plus rapide et meilleures
seront ces deux fonctions. D’où la nécessité d’une teneur en calcaire peu élevée. Une
eau dure possède, en effet, un pouvoir de dissolution limité qui nuit à la solubilisation
de la nourriture et rend son assimilation plus difficile.
AVEC DE L’EAU DOUCE ON FACILITE LA DIGESTION DES ALIMENTS
QUI SONT AINSI PLUS RAPIDEMENT ASSIMILES. Des analyses effectuées
sur les déjections d’animaux appartenant à un même élevage, alimentés de la même
manière mais abreuvés pour partie avec de l’eau dure, le reste avec de l’eau douce ont
donnés des résultats statistiques intéressants : les déjections des animaux abreuvés
avec de l’eau douce présentent une teneur en protéines très peu élevée par rapport à
celles des animaux abreuvés en eau dure.
En outre, l’assimilation des vitamines, antibiotiques et produits pharmaceutiques est
nettement facilitée par l’eau douce.
L’EAU FAIBLEMENT MINERALISEE EST ESSENTIELLE POUR LA MISE
EN SOLUTION ET LE TRANSPORT DES MINERAUX ET OLIGOELEMENTS
METABOLISES.
Les minéraux de l’eau sont inutiles :
Le Pr Henry SCHROEDER, autorité mondiale en matière de minéraux, déclare que
nous ne pouvons pas assimiler qu’1 % au plus des minéraux contenus dans l’eau et
que les minéraux inassimilables encrassent l’organisme.
Faits confirmés par le Pr P. DESGREZ (membre de l’Académie de médecine qui dit
que le calcium de l’eau n’est pas absorbé par l’intestin ).
Pourquoi le minéral purement amorphe est-il inapte à l’entretien de la vie animale ?
Parce que les propriétés des corps ne dépendent pas seulement de la nature des
atomes ( carbone, hydrogène, calcium,etc… ) formant la molécule, mais aussi de la
disposition de ces atomes dans la construction de la molécule, c’est-à-dire de la
structure moléculaire.
Cette différence est mise en évidence par leur action sur la lumière polarisée. D’une
façon générale :
-les produits naturels, d’origine organique ont une structure moléculaire
dissymétrique et sont doués de pouvoir rotatoire : ils deviennent le plan de
polarisation de la lumière. On dit qu’ils sont « actifs » ;
-les produits chimiques, d’origine minérale ou de synthèse, ont une structure
moléculaire symétrique et sont dépourvus de pouvoir rotatoire : ils ne deviennent pas
le plan de polarisation de la lumière. On dit qu’ils sont « inactifs ».
Il faut abattre le mythe de l’assimilation du calcium minéral. UNE DÉCALCIFIE
NE POURRAS JAMAIS, SE RECALCIFIER EN CONSOMMANT DE L’EAU
CALCAIRE ( les nombreuses déminéralisations constatées dans les régions
alimentées en eaux calcaires le prouvent ). En biologie, il existe deux grandes
classifications des êtres vivants : les autotrophes ( plantes, micro-organismes ) qui ont
seuls la possibilité d’assimiler directement le minéral. Les hétérotrophes ( hommes,
animal ). Incapables d’assimiler directement le minéral sauf par l’intermédiaire des
autotrophes, Dr P. BRESSY.
Les minéraux doivent être sous forme organique, donc passés par l’intermédiaire du
végétal pour être assimilés correctement, Dr A. PASSEBECQ.
Il est en effet prouvé que les éléments comme le calcium et magnésium sont mieux
utilisés par l’organisme lorsqu’ils sont sous la forme de complexes organométalliques,
comme ils se trouvent dans les végétaux, Dr R. FRANC.
Les eaux très minéralisées sont à proscrire hormis une utilisation médicale passagère.
Les eaux moyennement minéralisées sont aussi déconseillées en utilisation régulière,
si l’on se réfère à leurs coordonnées bio-électroniques défavorables. Tout comme les
eaux du robinet traitées à l’ozone et au chlore, elles entraînent progressivement une
alcalinisation et une oxydation du sang.
Comme boisson quotidienne, il faut conseiller une eau faiblement ou très faiblement
minéralisée. Les autres sont à considérer comme des médicaments à ne prendre que
sur avis médical.
Eaux en bouteilles et thermalisme :
« Buvez et éliminez » : de tels slogans sont trompeurs. Les eaux minérales en
bouteille sont loin d’avoir les propriétés des eaux bues au « griffon » ( c’est-à-dire à
la source ) et la consommation régulière d’eaux trop minéralisées n’est pas sans
risques pour la santé.
Beaucoup d’eaux minérales sont trop salées ou contiennent des éléments toxiques en
consommation prolongée ( arsenic, fluor, cuivre ).
Des cas de fluorose osseuses ont été observés chez de gros buveurs d’eaux chargées
en fluor.
Après captage de l’eau, les minéraux et oligo-éléments floculent et deviennent plus
difficilement assimilables. Même si la bouteille reste fermée, l’eau minérale s’altère
en vieillissant comme le montrent les analyses bio-électroniques. Les bouteilles sont
stockées chez les différents intermédiaires plusieurs semaines, mois, voire même
années, à la chaleur ambiante et à la lumière. Les emballages modernes ( en
plastique ) favorisent un développement explosif des bacilles, dès l’instant où ils sont
mal entreposés.